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JOYEUX NOËL

Par Marie Ange Barbancourt

Rédactrice en chef des Magazines Diamont History Group


Un mot, un geste, une main tendue, un regard de compassion

« Du pain et de la lumière pour tous dixit Victor Hugo»

Un vœu pieux dirait les plus sceptiques, une utopie !


On laisse tout tomber alors!…



Un temps, un jour de paix c’est ce qu’on souhaite à tous ! Peu importe la religion, le continent où vous vous trouvez. Ce que nous avons le droit de partager ensemble, c’est un désir de paix, d’équité, de liberté dans ce monde dont le sens et les valeurs nous échappent.


L’importance du présent est plus que jamais un chemin sûr puisqu’il est là, il est avec nous, il ne fuit pas, demain, ce sera autre chose. Autre chose que nous aurons à regretter, à confirmer à découvrir, à nommer. Saisir ce présent et en délecter chaque goutte, ça a un bien meilleur goût. On dit ceci, cela, mais voilà. Aucun d’entre nous n’est capable de savoir à 100 % de quoi sera fait demain.


L’amour qui sauve est du règne animal, c’est un instinct de survie. Même la bête la plus féroce cherche quelques instants, bonaces avec ses comparses.


Nous sommes chanceux en tant qu’animal de faire partie de cette espèce dôtée de cinq sens. Quand l’un ne va pas l’autre prend le relais. L’amour qui sauve : celui du prochain, de cet autre, de la famille, des amis, de cet inconnu qui nous tend la main... Je nous le souhaite.


Dis comment ça va ? Sinon malgré les tueries, les bombes, il nous reste le ciel à regarder. Juste ses merveilles et ses teintes changeantes sont un espoir.


Dis comment ça va ? Regarde il y a quelqu’un ou quelque chose qui va te décrocher un sourire, une larme ou t’offrir un bras pour que tu ne tombes pas.


Dis comment ça va ? Cherche dans les tiroirs de ton esprit la lumière qui vient pour dissiper l’ombre. Dans ce jeu d’ombre et de lumière du monde, chaque entité prend sa place et la lumière ne peut que luire dans les ténèbres.


On ne s’arrête pas au ravage du temps avec des métaphores. On se lève et s’élève vers la vie avec des instants même épars. On s’interdit les mauvaises choses, pas parce qu’on est dans le déni, mais tout simplement parce qu’on fait, malgré tout, confiance à l’humain pour que son devenir n’ait pas un parfum de fin du monde.


On ne s’arrête pas dans le grand tintamarre pour écouter les bruits discordants des instruments désaccordés de l’orchestre sans maestro. On avance ! Sinon la planète entière deviendrait la Zone…


On se fait confiance, on s’anime de la beauté des autres et de sa propre beauté. On réaccorde les instruments et on recommence à danser pour que résonne nos pas sur le macadam de l’espoir.


Du pain et de la lumière pour tous!

Joyeuses fêtes au nom de toute l’équipe des Magazines Diamont History Group

Marie Ange Barbancourt



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